Petite révolution dans le monde des institutions en France. En effet, le 1ᵉʳ janvier 2024, Pôle Emploi cédait sa place à France Travail. Le tout avec un objectif clair : le plein emploi. Comment est-elle censée y parvenir ? Grâce à un réseau d’aide pour l’emploi, notamment via un meilleur soutien aux demandeurs et une étroite collaboration avec les entreprises. Ainsi, France Travail propose des formations, des offres d’emplois et des rencontres entre professionnels et particuliers. Dans cette veine de plein emploi, Gabriel Attal avait proposé un changement dans l’assurance-chômage. Toutefois, les événements politiques récents ont mis un coup de frein à cet élan.

En outre, la proposition de formation reste un des leviers essentiels à cette quête de plein emploi. Selon la Caisse des dépôts, plus de 470 000 demandeurs de formations seraient des demandeurs d’emploi en 2023. Par ailleurs, France Travail contribue largement à ce nombre. On vous explique.

France Travail : des formations priorisées ?

Selon la Caisse des dépôts :

«La décision de France Travail d’accorder ou non ce financement complémentaire se prend sur la base des éléments du projet de retour à l’emploi du demandeur connus par le conseiller en évolution professionnelle qui l’accompagne»

Vous l’aurez compris, France Travail n’hésite pas à se montrer généreuse pour ceux qui souhaiteraient se former. D’autant plus que certains métiers sont demandeurs de main d’œuvre. Dans cette mesure, la remplaçante de Pôle Emploi complète les montants nécessaires, au cas où le demandeur n’aurait pas assez sur son compte CPF. On parle ici de 135 500 dossiers validés par France Travail. Cela dit, ce coup de pouce n’est pas valable pour n’importe quelle formation. À ce propos, la Caisse des dépôts a fait un classement des 20 domaines les plus susceptibles de recevoir une aide. Ainsi :